J'y pense
J'y pense
L’habit tourne à l’envers de ma peau à l’immense,
Quand le chien de la rue s’étonne du passant
Qui attend l’ongle amer de ces femmes en démence,
Planté dans la cire de mes yeux indécents.
Parle-moi du baiser étendu sur l’oreille,
Ou de ces horizons gênés dans le poignet,
Tu sais, quand le matin traîne un peu ses soleils
Au bord du drap anxieux, onanisme indigné.
Je t’aime solitaire englouti par la lèvre
Inventée, soupçonnée telle une plaie d’affiche
Placardée à l’entrée de ces palais en fièvres
Où j’avance cul nu sur le marbre hémistiche.
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Dan
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Quand l'écriture sous contraintes
vous en met plein les mirettes...
http://bouquinstinct.leforumbleu.net/emeutes.htm
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ça mijote encore...